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Pendentif onyx et perle Napoléon III

Prix de vente€750,00

Grand Pendentif médaillon en onyx surmonté d'une perle bouton en serti griffes et entouré de motifs trilobés ornés de petites perles dont 3 manquantes,

La monture est en or jaune 750/1000e (18k)

Travail du XIXe siècle

C'est un pendentif porte-souvenir de deuil, on y plaçait au revers, derrière la vitre, le portrait de l'être cher ou ses mèches de cheveux

poinçons : 2 Hiboux

poids brut : 26,49 gr

dimensions : 5,7 cm de longueur totale (5 cm sans la bélière) / 3,9 cm de large / 1,3 cm d'épaisseur

état : correct car il manque 3 petites perles (sur les côtés), la perle centrale est usée, sinon, très bel aspect général

L’avis de Maison Eloe

Le XIXᵉ siècle a vu naître certains des bijoux les plus raffinés de l’histoire européenne, et les pendentifs mariant onyx profond, perle naturelle et monture en or 18 carats comptent parmi les pièces les plus iconiques.
Ce Grand Pendentif Médaillon en onyx surmonté d’une perle bouton en serti griffes s’inscrit parfaitement dans cette tradition des grans ateliers de joaillerie française.

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Pendentif onyx et perle Napoléon III
Pendentif onyx et perle Napoléon III Prix de vente€750,00

La maison

Au cours du Second Empire (1852–1870), l’onyx est devenu l’une des pierres les plus recherchées par les artisans parisiens.
Une archive du Bulletin de la Société d’Encouragement pour les Arts (1864) mentionne même l’ouverture de nouveaux ateliers dédiés exclusivement à la taille de l’onyx pour répondre à la mode du moment : bijoux de deuil raffinés, camées, médaillons protecteurs.
Cette vogue explique pourquoi tant de pendentifs en onyx du XIXᵉ siècle présentent des formes architecturales, souvent rehaussées de motifs trilobés inspirés du gothique tardif — comme sur ce modèle.

Pendentif onyx et perle Napoléon III

L'histoire du bijou

Au XIXᵉ siècle, la France réglemente très tôt l’affinage des métaux précieux.
Un décret de 1838 impose l’usage de l’or 750/1000e (18k) pour la bijouterie haut de gamme, au point que ce titre devient internationalement associé au travail français.
Exporter un bijou présentant le poinçon “tête d’aigle”, symbole de l’or 18 carats, suffisait à l’époque à attester d’un travail d’excellence.

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